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Génération Y : En route vers l’indépendance

Suite à notre dernier article «Trop jeune pour devenir Freelance ? », nous nous sommes interrogés sur l’évolution de l’idéal de vie depuis l’apparition de la génération Y.

Et nous sommes partis du constat que depuis notre plus tendre enfance, nos parents nous rabâchent qu’il est important de faire de grandes études pour pouvoir s’intégrer à la société et décrocher un «CDI », le Saint Graal qui nous permettra d’obtenir une sécurité financière.

Bac+5 en poche, nous nous imaginions déjà notre destin tout tracé : cadre supérieur dans une grande société, marié(e), propriétaire d’une grande maison, deux enfants et un labrador… Tel est l’idéal de vie que nos parents nous ont inculqué et que nous sommes « programmés » pour appliquer…

Mais avant de comprendre l’idéal de vie de la génération Y, commençons par rappeler ce qu’est la génération X.

 

La génération X (nés entre 1960 et 1979) – La génération «  BABY BUST »

La génération X était, à l’origine, connue sous le nom de génération « Baby Bust », en raison de la faible natalité par comparaison à la période précédente du Baby-boom.

Cette génération a connu un climat professionnel délicat, trouvant très peu d’emplois durables et rémunérateurs. Dès qu’elle a pu trouver un poste, elle s’y est accrochée au vu de la fragilité du marché du travail et a essayé de gravir les échelons.

Confrontée à cette carence d’emplois, la génération de « nos parents » avait pour principale préoccupation de transmettre la stabilité professionnelle comme « idéal de vie » à leurs enfants (la génération Y).

En effet, créer sa société était respectable mais assez laborieux. Les entreprises existantes étaient souvent familiales et il fallait avoir les reins solides pour pouvoir bâtir son propre empire.

Si l’on décidait de se lancer dans cette aventure trépidante, on savait qu’on était parti pour des années de galère et d’acharnement avant de se stabiliser. La Télévision fût le symbole technologique des années 70. Mais l’information était bien souvent limitée et peu exhaustive.  Cette génération s’est aussi battue pour ses droits (les mouvements sociaux de 68). La vie n’a pas toujours été évidente mais tout était relativement envisageable et n’allait pas trop vite.

La génération Y : La génération « Digital Natives»

Mais à partir des années 80, la technologie commence à se développer à un rythme effréné (Steve Jobs présente son premier Macintoch en 1984, et Sony sort son premier caméscope en 1983). La génération X ne se sent pas encore dépassée car pour elle, ces nouvelles technologies ne sont réservées qu’à une partie ciblée de la population.
Erreur, car internet et la technologie se démocratisent et deviennent financièrement abordables. La génération Y, qui a évolué au même rythme que ces avancées technologiques, arrive sur le marché du travail et maîtrise parfaitement les enjeux de l’entreprise qui en découlent. Cette génération n’hésite pas à bouleverser tous les codes dans l’entreprise et remet en cause les modèles de management existant. Elle ne conçoit pas l’idée d’évoluer professionnellement dans la même société durant toute sa vie.

Elle est en permanence connectée (Smartphone, ordinateur, internet…) et est consciente que créer sa société ou trouver d’autres sources de rémunération (sur internet) peut se faire beaucoup plus rapidement qu’aucune entreprise ne l’avait fait auparavant. Elle révolutionne la manière classique de vendre un produit et privilégie la créativité, l’innovation, et le culot. 

Les nouveaux riches sont plus jeunes et n’ont pas attendu la fin de leur carrière professionnelle pour devenir influents.

Contrairement à leurs parents, les membres de la génération Y ne place pas le travail au cœur de leurs préoccupations car ils ont toujours connu la crise. Ils prennent plus de temps pour eux et refusent de travailler durant les fêtes et week-ends et veulent des congés et des RTT pour s’occuper de leurs projets personnels, car leur bien-être s’avère être leur priorité. Ils recherchent une meilleure qualité de vie, en conciliant travail et intérêt personnel. Ils pensent à leur bonheur court terme et sont très volatiles.
Précaires, ces jeunes de la génération Y sont pourtant mieux diplomés que leur aînés. En moyenne, ils font 3 années d’études de plus qu’il y a 30 ans, bref les jeunes sont pour la majorité d’entre eux surdiplômés mais au chômage.   Génération désenchantée dont les priorités sont : progression rapide, horaires plus flexibles, formation continue, liberté et autonomie ainsi que la reconnaissance de leurs compétences.

L’idéal de vie de la génération Y : l’indépendance

Nous plaçons l’expérience et les rêves comme principales lignes directrices.

« Pourquoi la génération Y ne pourrait-elle pas choisir son nouvel idéal de vie ? »

 

Nous sommes baignés dans les nouvelles technologies : Internet, les ordinateurs, les logiciels, les Smartphones… D’ailleurs, cette source d’information qu’est Internet, est notre principale ouverture sur le monde, et nous permet de voir, d’apprendre au quotidien de nouvelles choses et de découvrir une multitude de possibilités.
La curiosité est grande, nous voulons savoir le pourquoi de tout ça ? Pourquoi la vie ? Pourquoi Moi ? Nous ne sommes pas satisfaits par les réponses qui nous sont données.

Nous voulons vivre nos propres expériences de vie et nous avons compris qu’elles ne viendront pas toutes seules. Alors nous partons les découvrir.

A 26 ans, j’avais un CDI, un bon poste dans une société en plein développement et un bon salaire. Bref, j’avais toutes les cartes en main pour réussir ma vie professionnelle… Mais je ne supportais plus l’image que j’avais de ma vie tous les matins en me réveillant : une vie toute tracée… La sensation d’être enfermée dans un idéal de vie qui ne me ressemblait pas… J’avais envie de m’enfuir et de retrouver ma liberté… La liberté d’entreprendre et de vivre mes propres expériences professionnelles et non celles décrites sur une fiche de poste…

Quand j’ai annoncé à mes parents que je voulais m’associer et me mettre à mon compte, j’ai vu l’inquiétude se manifester sur leurs visages, même si mes parents croient en moi et me font confiance.
Mais partir pour une nouvelle aventure sans avoir la garantie que ça va fonctionner et perdre la sécurité financière que nous apporte le CDI… il faut être complètement idiot ou fou pour se lancer ?

Peut-être que je suis folle mais pas idiote ! En quittant mon CDI, je ne me suis pas retrouvée à manger des patates tous les soirs… J’avais déjà connaissance des possibilités offertes et des droits dont je pouvais jouir pour avancer sereinement dans mon projet.

Aujourd’hui devenir indépendant est devenu accessible. Il existe des solutions durables et confortables. Il suffit simplement d’être bien accompagné(e) et dans les meilleures conditions pour que cela s’opère en tout quiétude.

Notre concept est simple : Le consultant se concentre sur son métier, SS2IDeal s’occupe de tout le reste. L’objectif est de vous apprendre à devenir autonome sur tous les aspects du métier de consultant indépendant de manière à ce que vous n’ayez plus besoin de personne ensuite…

« Alors qu’attendez-vous pour changer de vie ? »

Chloé – SS2IDeal

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